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Des femmes comme Kelsang Tshomo, contrôleuse de bus au Bhoutan, soutiennent d’autres femmes en formant d’autres contrôleuses et chauffeurs à la violence basée sur le genre, pour leur permettre de lutter contre elle, pour eux-mêmes et pour les passagers et passagères des transports en commun. © UNFPA Bhoutan/Sunita Giri
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D’autres innovations « sur roues » comprennent des cliniques mobiles, comme celles exerçant dans des régions d’Ukraine reculées et en proie au conflit, où le Dr Ievghenia Kyslytsia, gynécologue, examine les femmes pour dépister des cancers de l’appareil reproducteur. © UNFPA Ukraine
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Les sages-femmes ont toujours soutenu les femmes, mais depuis le début de la pandémie, leur travail présente des risques supplémentaires. En Gambie, elles prodiguent des soins aux femmes enceintes et permettent de mettre au monde plus de 100 bébés par jour. Comme le dit Fatou Joof, « c’est notre identité de sage-femme, c’est notre travail : on sauve des vies ». © UNFPA Gambie/Isatou Jallow
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En temps de pandémie, les soignant·e·s ont dû s’adapter. Alors que la COVID-19 a mis en péril les services de planification familiale en Égypte, Nashwa Mohamed, travailleuse de proximité en banlieue du Caire, s’est mise à appeler ses patientes pour s’assurer qu’elles avaient toujours accès à la contraception et pouvaient toujours faire leurs propres choix en matière de procréation. Elle leur a par exemple fourni des contraceptifs pour des périodes plus longues ou proposé des méthodes à plus long terme. « Nous sommes formées sur divers sujets, mais tous ont trait aux femmes », explique-t-elle. © UNFPA Égypte/Roger Anis
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Parfois, le soutien aux autres femmes intervient après un changement d’opinion. Kokarupe Lorwu, Methani Chepurai Lokuda et Chepchongil Cheleston sont d’anciennes exciseuses kenyanes. Aujourd’hui âgées de plus de 70 ans, elles prennent position contre les mutilations génitales féminines, pour que les jeunes générations ne les subissent plus. © UNFPA Kenya/Luis Tato
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Dans d’autres cas, ce soutien se traduit par la provocation d’un changement d’opinion chez les autres. Flavia Buitrón fait partie d’une organisation de femmes Quechuas au Pérou, qui mène un travail de sensibilisation aux difficultés propres aux femmes autochtones. © UNFPA Pérou