en quoi ce Plan se différencie-t-il des autres ?

Des changements stratégiques clés vont transformer notre manière de travailler.

Nous souhaitons intégrer les divers effets des mégatendances – du vieillissement, au changement climatique en passant par les populations déplacées – à l’élaboration du programme. De même, nous entendons développer des services de qualité, étendre notre capacité d’intervention humanitaire et œuvrer en faveur de la santé mentale et de l’aide psychosociale. Enfin, nous nous attaquerons aux normes de genre qui freinent l’épanouissement des femmes et des filles, nous examinerons de plus près les contextes locaux et les barrières sociales et culturelles sous-jacentes, et nous redynamiserons et élargirons les partenariats, anciens et nouveaux. Sur le plan interne, nous veillerons à ce que l’UNFPA dispose d’un personnel qualifié, aux bons endroits, pour mener notre programme mondial de transformation.

Les pays prendront eux-mêmes l’initiative de déterminer les modes d’engagement qui auront le plus d’impact dans leur contexte culturel et géographique, ce qui donnera lieu à un plan plus décentralisé et axé sur ce qui fonctionne. Cela concernera notamment le plaidoyer, la concertation et le soutien à l’élaboration de politique, la gestion des connaissances, le développement des capacités, la prestation de services, ainsi que la coordination, le partenariat et la coopération Sud-Sud et triangulaire.